Partition autographe de la Symphonie n° 9 en ré mineur, op. 125 (4e mvt.), de Ludwig van Beethoven.
ainsi que de leurs combinaisons appelées à former l'ossature de l'œuvre musicale dans son déroulement temporel, à la fois
Le terme est devenu au fil du temps par métonymie, le synonyme de l'œuvre musicale elle-même.
Dans le solfège, la portée est un ensemble de cinq lignes horizontales permettant de représenter les hauteurs. Elle est destinée à recevoir les figures de notes et de silences, les clés, les altérations, et quelques autres symboles annexes.
Un ensemble de deux portées ou plus, liées par des accolades, s'appelle un système.
Dans le solfège, la représentation des hauteurs utilise six types de signes : la portée, les lignes supplémentaires, les figures de note, les clés, les signes d'octaviation et les altérations.
Les cinq lignes de la portée sont également espacées et forment entre elles quatre interlignes. Les lignes et les interlignes sont numérotés du bas vers le haut :
Les figures de note (dont la forme permet d'indiquer les durées) sont placées soit sur les lignes, soit dans les interlignes. La hauteur est indiquée par la position de la tête de la note : la présence éventuelle d'une hampe n'entre pas en ligne de compte.